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18 décembre, 2024

Les métadonnées d'une photo

Les métadonnées sont des informations supplémentaires qui décrivent les caractéristiques d’autres données. Elles sont souvent utilisées pour faciliter l’indexation et la recherche dans les bases de données. Par exemple, les moteurs de recherche utilisent les métadonnées des pages HTML pour l’indexation des résultats.

Le terme métadonnée, qui est composé du préfixe grec « meta » indiquant l’auto-référence, signifie donc proprement « donnée de/à propos de donnée ». Une métadonnée est donc une donnée servant à définir ou décrire une autre donnée, quel qu’en soit le support (papier, électronique ou autre). Par exemple, on peut associer à une donnée la date à laquelle elle a été produite ou enregistrée, ou à une photo les coordonnées géographiques du lieu où elle a été prise.

Toutes ces métadonnées peuvent être modifiées ou supprimées, en fonction des besoins de l’utilisateur.

En ce qui concerne une photo, les métadonnées peuvent inclure :

  • Les données EXIF (Exchangeable Image File Format) : elles contiennent des informations sur l’appareil photo utilisé pour prendre la photo, les paramètres de l’objectif, la date et l’heure de la prise de vue, et parfois même la géolocalisation,

  • Les données IPTC (International Press Telecommunications Council) : ces métadonnées sont souvent utilisées par les journalistes, les photographes et les agences de presse pour inclure des informations sur l’image, comme le titre, la description, les mots-clés, le lieu de prise de vue, le nom du photographe, etc...

  • Les données XMP (Extensible Metadata Platform) : développé par Adobe, ce format permet d’intégrer des métadonnées dans un fichier, y compris des données EXIF et IPTC ; il peut également stocker des informations spécifiques à certaines applications, comme les paramètres de retouche d’image,

  • Les données de l’en-tête du fichier : un fichier d’image numérique comprend un en-tête et le contenu ; ’en-tête, qui varie en fonction des formats d’images utilisés, peut contenir des informations comme le format du fichier, le type de compression utilisée, etc...

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Pour visualiser toutes les métadonnées d’une photo, j’utilise le logiciel gratuit IrfanView. Voici par exemple, une photo prise lors d’un atelier sur le mode « speed ».

Vous ouvrez votre photo dans IrfanView ; vous suivez ensuite le chemin « Image / Informations » pour afficher les données IPTC (tableau de droite ci-dessous) puis en cliquant en bas à gauche dans la fenêtre ouverte, vous affichiez les informations EXIF (tableau ci-dessous à gauche).

Les données EXIF contiennent des informations comme l’appareil photo utilisé (GC-G9), les réglages de l’objectif (ouverture, ISO, Focale….), et parfois même la géolocalisation (coordonnées GPS).

Attention ! le partage de photos avec des données EXIF peut potentiellement révéler des informations personnelles, comme la position géographique de votre domicile.

Les données IPCT affichent les nom, chemin d’accès, type de fichier, date, heure, lieu de prise de vue et autres informations sur l’image, comme le titre, la description, les mots-clés, etc.… ; on peut y ajouter par exemple le nom du photographe ou bien des commentaires.

Ces métadonnées peuvent être consultées et modifiées à l'aide de logiciels de retouche d'image ou de gestion de photos ; vous l’avez bien compris, elles sont utiles pour organiser, rechercher et comprendre les informations associées à une image.

Le poids et la taille d'une photo

Le « poids d’une photo » fait référence à la quantité de données numériques que la photo contient. Il est généralement mesuré en octets (ou kilo-octets, méga-octets, etc.). Chaque pixel de l’image contient des informations, comme la couleur, qui sont codées en octets.

Par exemple, dans le mode de codage de couleur le plus couramment utilisé, Rouge, Vert, Bleu (RVB), chaque couleur est codée sur 1 octet, donc chaque pixel est codé sur 3 octets. Ainsi, le poids d’une photo est obtenu en multipliant sa taille (le nombre total de pixels) par 3.

Le poids d’une photo peut être réduit grâce à des techniques de compression, comme le format JPEG, ce qui est utile pour faciliter le partage de photos par e-mail ou leur publication sur Internet.

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La “taille d’une photo” peut se référer à deux choses différentes : les dimensions physiques de l’image (largeur et hauteur) et la résolution de l’image (nombre de pixels).

  • Les dimensions physiques sont généralement mesurées en centimètres ou en pouces ; par exemple, les formats de tirage photo les plus couramment utilisés sont 10x15cm et 11x15cm.

  • La résolution d’une image est le nombre de pixels qu’elle contient. ; elle est généralement exprimée en pixels par pouce (PPI) ou pixels par centimètre (PPCM) ; plus la résolution est élevée, plus l’image contient de détails.

La taille d’une photo peut également être modifiée en utilisant des outils de redimensionnement d’image. Mais il faut bien faire attention : modifier la taille d’une image peut affecter sa qualité ; par exemple, agrandir une image peut la rendre floue car le logiciel doit « inventer » des pixels supplémentaires.

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Donc, bien que différents, la taille et le poids d’une photo sont deux concepts liés.

Pour ma part, j’utilise le logiciel IfranView (à télécharger en français de préférence).

Pour changer le poids d’une image avec IrfanView :

  1. Ouvrez l’image dans IrfanView

  2. Sélectionnez Image dans le menu, puis Resize/Resample (en français « redimensionner »)

  3. Dans la boîte de dialogue, définissez la nouvelle largeur (par ex 600 si c’est une photo en portrait, ou 1024 si c’est une photo en paysage) ; la hauteur changera automatiquement et les proportions seront préservées, car la case est cochée par défaut,

  4. Ensuite, enregistrez votre nouvelle image sans écraser l’original.

Pour changer la taille d’une image avec IrfanView :

  1. Ouvrez l’image dans IrfanView

  2. Sélectionnez Image dans le menu, puis cliquez sur Resize/Resample, comme précédemment

  3. Une nouvelle fenêtre apparaîtra où vous pouvez sélectionner la taille de l’image ;

  4. La suite est identique au changement de poids d’une photo.

Attention ! Gardez vos photos originales en haute résolution lors de l’enregistrement ; enregistrez la modification sous un autre nom.

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Pour en savoir plus :

Redimensionner une image : IrFanView (Tech2Tech)

Redimensionner plusieurs images en même temps avec IrfanView (LeCrabeInfo)

La profondeur de champs

 

Quesaco : F ou f ?

F et f font référence à deux paramètres différents mais interdépendants : la taille de l'ouverture de l'objectif et la distance focale de l'objectif.

F fait référence au nombre d'ouverture ; il est la mesure de la taille de l'ouverture de l'objectif. Plus le nombre d'ouverture est petit , plus l'ouverture de l'objectif est grande et plus la quantité de lumière qui entre dans l'objectif est importante (image ci dessous).

f fait référence à la distance focale de l'objectif ; il est la distance entre le centre optique de l'objectif et le plan de la surface sensible (ou le capteur d'image) lorsque l'objectif est mis au point sur l'infini. Plus la distance focale est grande (exprimée en millimètres), plus l'objectif a un fort pouvoir de grossissement et plus l'angle de vue est réduit.

La distance focale de l'objectif est l'un des facteurs qui influencent la profondeur de champ.

La profondeur de champ est donc la zone de l'image qui est nette et apparaît clairement, tandis que le reste de l'image est flou.

La profondeur de champ dépend de

  • l'ouverture du diaphragme,

  • la distance de mise au point,

  • la longueur focale de l'objectif,

  • la taille du capteur de l'appareil photo.

Pour mieux visualiser ces remarques, j’ai réalisé des photos avec différentes ouvertures :


Avec une ouverture à F 3,7, on parle de « faible profondeur de champ » ; les objets du fond très flous ; avec une ouverture à F 22, on parle d’une « grande profondeur de champ ».

Pour ce deuxième exercice – pardon, mais j’ai besoin de pratique pour bien visualiser et comprendre – j’ai gardé une ouverture de F 22 ; j’ai simplement jouer avec mon objectif…

La profondeur de champ est utilisée de manière créative pour mettre en valeur un sujet dans une image, en le rendant net et en faisant le reste de l'image flou. C'est une technique courante en photographie de nature morte.

Pour les besoins de l’exercice, j’ai volontairement laissé le fond en désordre ; mais pour vos photos, soignez l’environnement….


Les modes créatifs : le PASM

Mais qu’est-ce que c’est ? Voici encore des fonctions incontournables pour faire de belles photos… ou du moins s’en approcher….

Mode iA

Ce mode automatique est le mode par défaut de prise de vue dans lequel le photographe que nous sommes ne décide de rien ; l'appareil va automatiquement choisir la valeur pour l'ouverture, la vitesse d'obturation , la sensibilité ISO et bien d’autres paramètres tels que le flash ou la balance des blancs. Peu intéressant pour un débutant suivant des ateliers-photos !

Par contre, si vous êtes débutant et que vous assistez à un évènement unique (mariage, communion, baptême ou anniversaire) il est préférable d’utiliser ce mode pour être sûr de ne manquer aucune photo : à évènement unique, mode exceptionnel….

Mode P : PROGRAMME

L’appareil gère seul les paramètres d’exposition selon le triangle Sensibilité ISO / Ouverture / Vitesse.

Toutefois, on peut maîtrise le couple Ouverture / Vitesse.

Ce mode semi-automatique est parfait pour les débutants.

Mode A : PRIORITE OUVERTURE (aperture)

Ce mode permet de contrôler la profondeur de champ

IL faut simplement éviter que la lumière soit trop lente (donc ISO augmentés).

Mode S : PRIORITE A LA VITESSE (speed)

On gère la vitesse, tandis que l’appareil adapte les autres paramètres ; ce mode est utile lorsque l’on veut maîtriser la perception du mouvement :

  • Figer un mouvement rapide

  • Faire des trainées dans l’image (vitesse lente par ex de 1/30 pour un flou de bougé)

N’oubliez pas le pied de votre appareil !

Mode M : MANUEL

C’est le mode par excellence des pro ! Donc à éviter pour les novices en photo comme moi…. On verra dans quelques années…. Ou pas…. Puisque l’on décide tout seul de TOUS les paramètres du boitier ; il faut donc une parfaite connaissance de son appareil.

Vocabulaire pour débutant

Lorsque l’on est « novice » en photographie - comme moi notamment - un minimum de vocabulaire est à acquérir ; si par exemple, vous voulez compléter votre formation en visionnant des vidéos sur YouTube, sans connaître le vocabulaire adéquat, vous allez être très vite dépassés, donc démoralisés. Un peu de vulgarisation ne fait de mal à personne….

La plage focale

La distance focale (encore appelée longueur focale ou focale), est la distance entre le centre optique de l'objectif et le foyer image, où se trouve le capteur de l'appareil. Elle est exprimée en millimètres (mm), et vous la voyez sur l'objectif ; sur mon appareil hybride, elle est de 14-140.

Les modes AFS / AFF / AFC…

AFS / « AutoFocus single Shot » : focus unique sur l'objet dans la zone choisie quand on enfonce à demi le déclencheur

A utiliser pour les sujets « statiques » comme les paysages, le portrait, l’architecture

AFF / « AutoFocus Flexible » : focus sur l'objet dans la zone choisie et se « met à jour » si l'objet se rapproche ou s'éloigne tant qu'on appuie à demi le déclencheur

Mouvements imprévisibles (enfants, animaux, etc...). Fonctionne automatiquement quand le déclencheur est pressé à mi-course. Si le sujet bouge, le focus est recalculé pour donner le meilleur résultat.

AFC / « AutoFocus Continous : focus continu sur l'objet sur la zone choisie tant qu'on est à fond sur le déclencheur.

A utiliser pour des sujets en mouvement (chaque fois que la distance entre le sujet et l’appareil photo change) comme par exemple, la photo de sport, animalière, ou une personne marchant, courant, etc, l’architecture

Mouvements prévisibles (Sports, trains, etc...). Fonctionne constamment quand le déclencheur est pressé à mi-course. L'appareil anticipe la position du sujet au moment de la prise.

MF / Mise au point manuelle : permet de régler la mise au point manuellement au lieu de laisser l'appareil photo définir les paramètres ; à réserver aux professionnels….

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L e triangle d’exposition

Trois paramètres sont indispensables pour réaliser une bonne photo :

  • Ouverture du diaphragme

  • Sensibilité ISO

  • vitesse de l’obturateur

Trois paramètres interdépendants : si un paramètre est modifié, il faudra ajuster les deux autres.

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L’ouverture

L'ouverture est la quantité de lumière que l’ objectif laisse rentrer dans l'appareil grâce à un système de diaphragme en iris.

L’ouverture s’exprime sous la forme f/n ; sur votre appareil, la valeur de « f/1,8 » sera indiquée 1,8 et désigne une grande ouverture alors que « f/22 » indiqué 22 en indique une très petite

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La plage ISO

L’ISO permet de contrôler la lumière atteignant le capteur, de manière à rendre la photo plus claire ou plus sombre, la valeur choisie sur l’appareil peut-être manuel ou automatique.

Plage de sensibilité ISO : de 100 à 25600

Plus le nombre ISO est élevé, plus le capteur de votre appareil numérique est sensible à la lumière. Et inversement.

Le « bruit » dans une image est une sorte de grain polychrome, révélateur d’une sensibilité ISO trop élevée.

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La plage de vitesse

La vitesse d'obturation est la vitesse à laquelle l'obturateur de l'appareil photo se ferme. Une vitesse d'obturation rapide crée une exposition - ou la quantité de lumière absorbée par l'appareil - plus courte et une vitesse d'obturation lente permet une exposition plus longue.

Le choix de la vitesse d'obturation dépend du sujet (rapide ou lent), de la focale utilisée et de votre stabilité (trépied ou main levée).

Choisir une vitesse d'obturation plus rapide (par exemple 1/125s au lieu de 1/25s) permet d’éviter le flou de bougé du photographe ou le flou de mouvement du sujet.


Un décryptage indispensable (2/2)


Maintenant que nous connaissons un peu mieux notre appareil, de façon général, voyons de plus près les caractéristiques techniques ; je ne vais pas m’attarder sur la notice – totalement incompréhensible aujourd’hui pour moi – mais je vais tenter de décrypter les données du constructeur.

La coupe d’un appareil photo numérique permet de visualiser les composants indispensables :


Pour résumer, un appareil hybride est un « petit ordinateur ».

Le capteur numérique remplace l’ancienne pellicule film. Lorsque le photographe prend la photo le miroir est ouvert ; la lumière voyage directement dans le capteur qui en mesure l’intensité et la couleur : chaque photon qui arrive sur le capteur est ensuite traduit en pixels ; pour les appareils hybrides, la lumière est directement « enregistrée » par le capteur : ils ne possèdent ni miroir ni pentaprisme ;

L’objectif est un système optique convergent qui permet de produire une image sur le capteur grâce à un jeu de lentilles et miroirs ; ceux-ci canalisent – ou captent – les rayons lumineux pour reproduire l’image sur le capteur ; l’objectif est donc un élément très très important – ce qui justifie son prix – qui se caractérise par sa distance focale (ou sa plage de focale pour un zoom), son ouverture maximale, et le format maximum de la surface sensible (film ou capteur) avec lequel il est utilisable.

Le diaphragme détermine la quantité de lumière qui se rend au capteur de la camera.

Le processeur est le cerveau de votre appareil ; les informations amassées par le capteur y sont converties en un format lisible pour votre ordinateur : en RAW et/ou en JPG.

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Une image est définie par sa pixellisation ; donc plus le nombre de mégapixels est important, plus votre photo aura une meilleure définition donc un rendu plus fin. On voit bien que sur certain appareil, lorsque l’image est agrandie, une multitude de petits points apparaissent : l’image n’est pas nette.

Lors d'une prise de vue, vous avez 4 paramètres à ajuster pour composer et contrôler l'exposition de votre image :

  • la focale et l'ouverture sur l'objectif,

  • la vitesse d'obturation

  • la sensibilité du capteur sur le boîtier.

Ces 4 données sont incontournables ; plus vous en connaîtrez le sens et la maîtrise, meilleures seront vos photos. Malgré tout, même si la technique est importante, l’esthétique est primordial. Si la photo est techniquement bien réalisée mais sans être « attirante » pour votre œil, elle n’aura aucun succès, bien qu’elle soit prise avec rigueur.

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Pour en savoir plus :

Le format micro 4/3, qu’est ce que c’est ?

Les différents types de capteur

Wikipedia

MP #160 : Pixels, définition et résolution d’image

Calculateur de pixels - Convertissez DPI / PPI en pixels et mm, cm, pouces

La sensibilité ISO : qu’est-ce que c’est, comment la régler, éviter le grain ?

L’objectif et le zoom

Un décryptage indispensable (1/2)

J’ai la « chance » et j’insiste bien sur ce mot, j’ai la chance d’être l’heureuse propriétaire d’un appareil photo « Hybride PANASONIC DMC-G90 + 14-140mm » ; et bien sûr, ça ne vous dit rien !

Comme il n’existe pas de club photo susceptible de vous apprendre votre appareil – et que l’on n’est jamais mieux servi que par soit même ! - j’ai pris la notice de mon appareil prestigieux – pour une amatrice – et j’ai tenté de décrypter le langage barbare et inconnu de la photographie.

Je pensais pouvoir y échapper – comme les cours d’optique de mes 18 ans ! - mais pour faire de belles photos, il est indispensable de connaître son appareil.

Je suis sûre d’ailleurs que vous allez pouvoir suivre avec le vôtre….

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Avant toute chose, les 4 principes de la photographie à retenir sont :

  • le diaphragme ou l'ouverture de l’objectif

  • le temps de pose ou la vitesse d'obturation

  • la sensibilité du capteur (ISO)

  • la profondeur de champ.

Quelque soit votre appareil, vous entendrez toujours parler de vitesse, lumière, sensibilité et profondeur.

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Hybride ou reflex ?

La différence entre un reflex et un hybride réside dans la façon dont est gérée la lumière à l'intérieur du boîtier : le reflex dispose d'un miroir sur lequel la lumière rebondit pour atteindre le viseur alors que dans les hybrides la lumière arrive directement sur le capteur.

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Nous voici donc au cœur du sujet : de quoi est donc composé un appareil photo ?


Les différents composants d'un appareil photographique numérique dit « compact » sont :

  • Un viseur (pas toujours présent puisque la visée peut se faire via l'écran)

  • Un déclencheur

  • Un objectif

  • Un diaphragme, qui permet de contrôler la quantité de lumière qui traversera l’objectif et est responsable de la profondeur de champ,

  • Un obturateur, qui permet de préciser le temps d’exposition du capteur à la lumière ; il est responsable de la vitesse d’obturation,

  • Un capteur, responsable de la sensibilité, de la qualité et de la résolution de la photo

  • Une carte mémoire

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Pour en savoir plus :

Une histoire de miroir et d'ergonomie

Comment fonctionne un appareil photo numérique ?